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Chardon Bleu qui Pique

13 mars 2024

Révolution du streaming

La révolution numérique a transformé de nombreux aspects de notre vie quotidienne, l'un des changements les plus importants étant la transition de la télévision traditionnelle vers le web en tant que nouvelle plateforme pour le contenu vidéo. Cet essai examine le développement du site web en tant qu'alternative à la télévision, son impact sur les personnes et les créateurs de contenu, ainsi que ses développements futurs potentiels.

Le passage de la télévision conventionnelle au web en tant que nouveau type de télévision a commencé avec l'avènement du web à haut débit et la prolifération des technologies de diffusion en continu sur l'internet. Les premières plateformes comme YouTube ont démocratisé la création de contenu, permettant à toute personne disposant d'une caméra numérique et d'une connexion internet de diffuser des émissions dans le monde entier. C'était un contraste frappant avec la télévision traditionnelle, qui était limitée par des plans, des frontières géographiques et des gardiens qui contrôlaient ce qui était diffusé.

Avec l'augmentation de la vitesse de l'internet et l'innovation technologique, des programmes plus sophistiqués ont vu le jour. Des services tels que Netflix, Hulu et Amazon Perfect Video ont commencé à proposer des bibliothèques importantes de contenus à la demande, modifiant fondamentalement la manière dont les gens consomment le t . v . Ces plateformes offraient facilité, variété et contrôle sur les expériences de visionnage, des caractéristiques que la télévision traditionnelle avait du mal à égaler.

La transformation du web en une nouvelle forme de télévision a eu de profondes répercussions sur le public et les concepteurs de contenu. Pour les téléspectateurs, le web offre une commodité et une personnalisation inégalées. Ils peuvent regarder leurs émissions préférées à tout moment, n'importe où, sur n'importe quel produit connecté à l'internet, et ils ont plus de choix de contenu que jamais auparavant. Les techniques recommandent des articles en fonction des habitudes de visionnage, ce qui permet de personnaliser au maximum l'expérience de visionnage.

Pour les créateurs de contenu, l'internet a ouvert de nouveaux horizons. Les cinéastes indépendants, Web à Lille les vloggers et les concepteurs de vidéos peuvent atteindre un public mondial sans passer par les canaux de distribution conventionnels. La démocratisation de la création de contenu a conduit à une diversification du contenu, dans laquelle des voix de niche et sous-représentées peuvent trouver un public en dehors des stations médiatiques bien connues.

L'essor de la télévision sur le web a bouleversé les modèles d'entreprise traditionnels de l'industrie du divertissement. Les recettes publicitaires, qui constituaient autrefois le nerf de la guerre pour la télévision traditionnelle, se dirigent désormais vers les plateformes numériques qui offrent des possibilités de publicité ciblée. Les versions par abonnement, incarnées par Netflix et Hulu, ont gagné en popularité, offrant des expériences de visionnage sans publicité moyennant un abonnement mensuel.

Les entreprises médiatiques traditionnelles ont été contraintes de s'adapter, en lançant leurs propres services de diffusion en continu pour récupérer les téléspectateurs et les revenus perdus. Cette évolution a conduit à un paysage de la presse de plus en plus fragmenté, dans lequel les consommateurs doivent naviguer entre plusieurs abonnements pour accéder à tous les contenus qu'ils désirent.

L'internet, en tant que nouvelle forme de télévision, a également eu d'importantes répercussions sociales et sociétales. Il démocratise l'information et le divertissement, en faisant tomber les barrières géographiques et ethniques. Les révélations et les films de différents pays et cultures sont en fait facilement accessibles, ce qui favorise une meilleure connaissance et une plus grande gratitude à l'égard de la diversité internationale.

Toutefois, cette évolution a également suscité des inquiétudes concernant la surabondance de contenu et le risque de surcharge d'informations. Les chambres d'écho créées par un contenu personnalisé peuvent limiter l'exposition à divers points de vue, ce qui risque de renforcer les préjugés et de contribuer à la polarisation de la société.

À l'avenir, le rôle du web en tant que nouveau type de télévision devrait continuer à se développer. Les technologies émergentes telles que la réalité virtuelle (VR) et la réalité augmentée (AR) promettent de modifier l'expérience télévisuelle, en offrant des formes de divertissement immersives et interactives. L'intelligence artificielle (IA) pourrait personnaliser davantage le contenu, en créant des expériences de visionnage personnalisées qui s'adaptent aux préférences et à l'humeur du téléspectateur.

Toutefois, ces percées posent également des problèmes. Les préoccupations en matière de protection de la vie privée sont primordiales, car le contenu personnalisé repose sur la collecte et l'analyse d'informations. Il existe également un risque d'aggravation de la fracture numérique, car ceux qui n'ont pas accès à un internet digne de confiance ou à des appareils modernes sont de plus en plus exclus du courant culturel dominant.

En outre, la durabilité de l'explosion du contenu existant est préoccupante. La quantité de contenu disponible étant stupéfiante, la lassitude des téléspectateurs pourrait s'installer, et la viabilité financière de nombreuses solutions de diffusion en continu pourrait être remise en question, ce qui pourrait à terme entraîner une consolidation du secteur.

Le net est incontestablement devenu une nouvelle forme de télévision, remodelant non seulement la façon dont nous ingérons le contenu, mais aussi la façon dont il est créé, distribué et monétisé. Cette évolution reflète les changements plus larges de notre culture numérique, offrant à chacun des options passionnantes et de nouveaux défis. Étant donné que les frontières entre le web et la télévision continuent de s'estomper, il s'agira de trouver un équilibre entre les avantages de cette nouvelle forme de télévision - commodité, diversité et accessibilité - et les défis qu'elle pose, en veillant à ce qu'elle réponde aux exigences de tous les publics et de tous les créateurs de contenu dans un paysage électronique en constante évolution. L'avenir de la télévision n'est pas seulement dans les écrans de nos espaces de vie, mais aussi dans tous les produits connectés à l'internet, qui se développent constamment au rythme rapide de l'innovation technologique.

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24 janvier 2024

La Difficulté Économique des Agriculteurs

L'agriculture a toujours été un pilier fondamental de l'économie mondiale, fournissant les ressources alimentaires nécessaires à la survie humaine. Cependant, malgré son importance cruciale, les agriculteurs du monde entier sont confrontés à d'innombrables défis économiques. Dans cet essai, nous examinerons les facteurs qui contribuent à la difficulté économique des agriculteurs, les impacts de ces défis et les mesures potentielles pour améliorer leur situation.

Facteurs Contributifs
Les difficultés économiques des agriculteurs peuvent être attribuées à plusieurs facteurs interdépendants. Premièrement, la volatilité des prix des produits agricoles joue un rôle majeur. Les fluctuations des prix sur les marchés mondiaux peuvent avoir un impact considérable sur les revenus des agriculteurs, les rendant vulnérables aux chocs économiques.

Deuxièmement, les coûts de production élevés pour les semences, les engrais, les pesticides et les équipements mettent une pression financière supplémentaire sur les agriculteurs. Ces coûts peuvent être particulièrement accablants pour les petits exploitants qui n'ont pas les moyens d'acheter en gros ou de négocier de meilleurs prix.

Troisièmement, les changements climatiques et les conditions météorologiques extrêmes, comme les sécheresses, les inondations et les tempêtes, représentent un risque majeur pour l'agriculture. Ces événements peuvent détruire les cultures et réduire les rendements, entraînant des pertes financières importantes.

Enfin, les politiques agricoles et les subventions peuvent favoriser les grandes exploitations au détriment des petits agriculteurs, exacerbant les inégalités économiques dans le secteur.

Impacts
Les difficultés économiques des agriculteurs ont des répercussions profondes. Elles peuvent conduire à l'endettement, à la faillite et, dans les cas extrêmes, à des tragédies personnelles. Ces défis économiques peuvent également entraîner une migration des zones rurales vers les villes, à la recherche d'un travail plus stable, ce qui peut affaiblir les communautés rurales et perturber les traditions agricoles.

De plus, les difficultés financières peuvent limiter la capacité des agriculteurs à investir dans des pratiques agricoles durables. Cela peut conduire à une utilisation excessive de produits chimiques et de ressources naturelles, affectant l'environnement et la santé publique.

Mesures Potentielles
Pour améliorer la situation économique des agriculteurs, plusieurs mesures peuvent être envisagées. Premièrement, la mise en place de systèmes de soutien des prix ou de garanties de revenu minimum peut aider à stabiliser les revenus des agriculteurs face aux fluctuations du marché.

Deuxièmement, l'accès à des prêts à faible taux d'intérêt et à des subventions peut aider les petits exploitants à couvrir les coûts de production et à investir dans de nouvelles technologies ou pratiques durables.

Troisièmement, des politiques favorisant l'agriculture durable et la résilience au changement climatique sont essentielles. Cela inclut la promotion de la rotation des cultures, de l'agroforesterie et de l'agriculture biologique, qui peuvent améliorer la santé des sols et réduire la dépendance aux intrants chimiques.

Enfin, l'amélioration des infrastructures rurales, telles que les routes, les systèmes d'irrigation et les installations de stockage, peut aider les agriculteurs à accéder plus facilement aux marchés et à réduire les pertes post-récolte.

Conclusion
Les difficultés économiques des agriculteurs sont un problème mondial qui nécessite une attention urgente. En reconnaissant et en abordant les facteurs qui contribuent à ces défis, nous pouvons aider à assurer un avenir plus stable et durable pour les agriculteurs et pour l'industrie agricole dans son ensemble. Les mesures visant à stabiliser les revenus, à réduire les coûts de production, à encourager les pratiques durables et à améliorer les infrastructures rurales sont essentielles pour soutenir les agriculteurs. En investissant dans l'agriculture et en soutenant ceux qui la pratiquent, nous pouvons non seulement améliorer la vie des agriculteurs, mais aussi contribuer à la sécurité alimentaire, à la protection de l'environnement et à la santé économique globale de nos sociétés.

15 novembre 2023

Vitesse et technologie: les avions de combat modernes

La vitesse des avions de chasse est un sujet qui fascine à la fois les passionnés d'aviation et le grand public, car elle combine des aspects de l'ingénierie avancée, de la physique et de l'aéronautique. Pour comprendre pourquoi et comment les avions de chasse atteignent leur vitesse remarquable, il faut explorer plusieurs domaines clés : les principes de la propulsion par réaction, la conception aérodynamique, le rôle des moteurs et les limites réelles imposées par l'environnement et les composants.

Pour comprendre comment les avions de combat se déplacent aussi vite, il faut d'abord connaître les principes de base de la propulsion par réaction. Cela peut être décrit par la troisième règle du mouvement de Newton : pour chaque mesure, il y a une réaction équivalente et opposée. Les moteurs à réaction font avancer les avions en aspirant l'air à l'avant, en le comprimant, en le mélangeant au carburant, puis en allumant le mélange. Les gaz d'échappement produits à grande vitesse sortent à l'arrière du moteur, poussant le jet vers l'avant.

La forme d'un avion de chasse est déterminante pour sa capacité à voler à grande vitesse. L'aérodynamique, c'est-à-dire l'étude de la façon dont les gaz communiquent avec les systèmes en mouvement, est un facteur essentiel dans la conception des avions à réaction. Les avions de chasse sont aérodynamiques, ce qui minimise la résistance à l'air ou la traînée. Plus l'écoulement de l'air sur le corps est fluide, moins la résistance est importante et plus l'avion peut aller vite. C'est pourquoi la plupart des avions de combat modernes ont un fuselage fin et élégant et des ailes en delta ou en flèche, qui réduisent la traînée à grande vitesse.

Les moteurs sont au cœur de la vitesse d'un avion de chasse. Les avions de chasse modernes utilisent généralement des turbosoufflantes à postcombustion. Un turboréacteur est un type de moteur à réaction qui est plus efficace à des vitesses et des altitudes plus faibles, ce qui le rend idéal pour toute une série d'activités aériennes. La postcombustion est un composant supplémentaire qui fournit une poussée supplémentaire en injectant du carburant directement dans le flux d'échappement, ce qui permet d'améliorer considérablement la vitesse. Cette fonction est extrêmement utile dans les situations de combat où une vitesse rapide est nécessaire. Néanmoins, l'utilisation de la postcombustion consomme rapidement du gaz, ce qui la rend insoutenable sur de longues périodes.

La limite la plus importante à la vitesse d'un avion à réaction est le mur du son. Lorsqu'un avion s'approche de la vitesse du son (Mach 1, soit environ 1 235 km/h ou 767 miles par heure au niveau de la mer), la pression atmosphérique augmente devant lui, créant une onde de choc. Le franchissement de cette zone tampon constituait autrefois un problème aéronautique important. Les avions de chasse modernes ne se contentent pas de franchir le mur du son, ils peuvent également atteindre des vitesses supersoniques (plus rapides que Mach 1). Certains jets peuvent même atteindre des vitesses hypersoniques (supérieures à Mach 5), bien que cela relève généralement du domaine expérimental ou de conceptions futures.

Si les technologies permettent aux avions de combat d'atteindre des vitesses incroyables, il existe des limites physiques à la vitesse qu'ils peuvent atteindre. L'une de ces limites est l'efficacité des matériaux utilisés pour construire l'avion. L'augmentation de la vitesse s'accompagne d'une augmentation de la friction avec l'atmosphère, ce qui entraîne une hausse de la température à la surface de l'avion. Cette contrainte thermique peut endoger la structure de l'avion si elle n'est pas correctement gérée. Des matériaux avancés comme le titane et les matériaux composites sont souvent utilisés dans les avions de combat pour résister à ces températures et tensions élevées.

Le corps humain constitue une autre limite critique. Les pilotes d'avions de chasse sont confrontés à des forces extrêmes, en particulier au cours de manœuvres à grande vitesse. La pression des forces gravitationnelles lors d'accélérations ou de virages rapides peut provoquer un état appelé perte de conscience stimulée par la force G (G-LOC), dans lequel le flux sanguin vers le cerveau est réduit, ce qui entraîne une perte de conscience. Pour atténuer ces risques, on a recours à un entraînement sophistiqué, à une véritable mise en condition et à des matchs spécialisés qui utilisent la pression exercée sur le corps pour maintenir le sang dans la partie supérieure du corps.

Le rythme est souvent associé à l'efficacité énergétique. Plus un avion à réaction vole vite, surtout en mode postcombustion, plus il consomme de carburant. Cela réduit le rayon d'action de l'avion et le temps qu'il peut consacrer à une mission. Les fournisseurs et les concepteurs s'efforcent constamment d'optimiser ce compromis, en recherchant un équilibre entre la vitesse, la portée et l'efficacité.

Les percées technologiques constantes jouent un rôle crucial dans l'augmentation de la vitesse des avions de combat. Les améliorations apportées à la technologie des moteurs, à l'aérodynamique et aux matériaux contribuent toutes à l'augmentation des performances. En outre, les équipements informatiques et les simulations permettent une conception et des essais plus précis des avions avant même qu'ils ne prennent leur envol, ce qui se traduit par des jets plus efficaces et plus rapides.

D'un point de vue stratégique et tactique, la vitesse est un élément vital pour les avions de combat. Elle améliore la capacité d'un avion à échapper aux radars et aux défenses anti-aériennes de l'ennemi, à engager les foyers ennemis de manière efficace et à effectuer une variété de missions allant de la reconnaissance à la supériorité aérienne. Toutefois, elle est également équilibrée par d'autres facteurs tels que la manœuvrabilité, la furtivité et les capacités de combat électronique.

L'avenir de la vitesse des avions de chasse s'oriente vers des systèmes beaucoup plus avancés. Des concepts tels que les moteurs à scramjet, qui pourraient propulser les avions à des vitesses hypersoniques, sont en cours d'amélioration. En outre, à mesure que les véhicules aériens sans pilote (UAV) continuent de progresser, les limites imposées par le corps humain s'avèrent moins contraignantes, ce qui pourrait permettre d'atteindre des vitesses plus élevées.

En conclusion, la vitesse des avions de combat est le résultat d'une interaction complexe entre l'aérodynamique, les technologies des moteurs, annuaire des avions de chasse la recherche sur les matériaux et les limites de l'endurance humaine. Au fur et à mesure que la technologie progresse, les capacités de ces incroyables machines s'accroissent, repoussant toujours plus loin les limites du possible dans le domaine de l'aviation.

3 octobre 2023

La Nécessité de Travailler à l'École : L'Éducation comme Pilier de l'Épanouissement

L'école, lieu de savoir, de partage et d'apprentissage, occupe une place centrale dans la vie de chaque individu. Elle constitue un pilier fondamental pour le développement intellectuel, social et personnel de chacun. Au-delà des systèmes éducatifs et des approches pédagogiques, l'essentiel réside dans l'engagement et le travail de l'élève. Dans ce texte, nous allons explorer la nécessité de travailler à l'école et les raisons pour lesquelles cet investissement personnel est essentiel pour le succès académique, professionnel et personnel.

I. L'Éducation comme Clé de l'Épanouissement

L'éducation est souvent considérée comme la clé de l'émancipation individuelle. Elle offre l'accès à la connaissance, à la compréhension du monde qui nous entoure, ainsi qu'aux compétences essentielles pour naviguer dans la société moderne. Pourtant, pour tirer pleinement parti de cette opportunité, il est impératif de travailler dur et de s'engager activement dans son propre processus éducatif.

1. Acquisition de connaissances : À l'école, les élèves ont la possibilité d'acquérir des connaissances dans une multitude de domaines. De la littérature à la science, en passant par les mathématiques et les arts, l'éducation offre une fenêtre sur le monde et les différentes facettes de la réalité. Le travail assidu à l'école permet d'absorber ces connaissances de manière approfondie, ce qui constitue la base d'une pensée critique et d'une prise de décision éclairée.

2. Développement des compétences : En plus des connaissances, l'école enseigne des compétences essentielles pour la vie. La résolution de problèmes, la communication, la pensée analytique et la collaboration sont autant d'aptitudes qui sont renforcées par le travail à l'école. Ces compétences deviennent des outils précieux dans le monde professionnel et personnel.

3. Ouverture d'esprit : Le travail à l'école favorise l'ouverture d'esprit en exposant les élèves à différentes cultures, idées et perspectives. Cela encourage la tolérance et la compréhension interculturelle, des qualités essentielles dans un monde de plus en plus globalisé.

II. L'École comme Préparation à la Vie

L'école ne se limite pas à la transmission de connaissances et de compétences, elle prépare également les élèves à affronter les défis de la vie quotidienne, de la vie professionnelle et des décisions personnelles.

1. Préparation à la vie professionnelle : L'éducation est un tremplin vers une carrière fructueuse. Travailler à l'école en se concentrant sur l'acquisition de compétences pertinentes pour le marché du travail augmente les chances de succès professionnel. Les compétences académiques, telles que la résolution de problèmes et la maîtrise de l'information, sont très recherchées par les employeurs.

2. Autonomie et responsabilité : Travailler à l'école enseigne également l'autonomie et la responsabilité. Les élèves sont responsables de leurs devoirs, de leurs études et de leur réussite académique. Cela prépare les jeunes à assumer des responsabilités similaires dans leur vie adulte.

3. Apprentissage continu : L'école inculque également la valeur de l'apprentissage continu. En travaillant dur et en cherchant constamment à s'améliorer, les élèves sont mieux préparés à faire face aux défis et aux opportunités qui se présentent à eux tout au long de leur vie.

III. Le Dépassement de Soi et l'Épanouissement Personnel

Le travail à l'école ne se limite pas à l'acquisition de connaissances et de compétences pratiques ; il favorise également le développement personnel et la croissance individuelle.

1. Le dépassement de soi : Travailler à l'école implique souvent de relever des défis intellectuels. Cela pousse les élèves à dépasser leurs limites, à surmonter les obstacles et à développer leur résilience. Cette expérience est précieuse pour la construction de la confiance en soi et de l'estime de soi.

2. La persévérance : Le travail acharné à l'école enseigne la persévérance. Les élèves apprennent que la réussite ne vient pas toujours rapidement ni facilement. Ils acquièrent ainsi la capacité de persévérer face aux difficultés, une compétence essentielle pour surmonter les défis de la vie.

3. L'épanouissement personnel : En travaillant à l'école, les élèves peuvent découvrir leurs passions, leurs intérêts et leurs talents. Cela les aide à se forger une identité et à développer un sens de l'accomplissement personnel.

IV. Le Rôle des Enseignants et des Parents

Le travail à l'école n'est pas seulement la responsabilité des élèves eux-mêmes. Les enseignants et les parents jouent un rôle crucial dans la création d'un environnement favorable à l'apprentissage.

1. Les enseignants : Les enseignants sont des guides et des facilitateurs de l'apprentissage. Ils doivent fournir un enseignement stimulant, des encouragements et un soutien individualisé pour aider les élèves à réussir.

2. Les parents : Les parents jouent également un rôle majeur en encourageant leurs enfants à travailler dur à l'école. Leur implication dans l'éducation de leurs enfants, en encourageant la discipline et en valorisant l'apprentissage, peut avoir un impact significatif sur la réussite scolaire.

3. Le soutien émotionnel : Enfin, le soutien émotionnel est essentiel. Les élèves ont besoin de se sentir soutenus, compris et valorisés pour s'engager pleinement dans leur éducation.

Conclusion

Le travail à l'école est un investissement fondamental dans son propre avenir. Cela va bien au-delà de la simple acquisition de connaissances académiques ; c'est un moyen d'atteindre l'épanouissement personnel, de se préparer à la vie adulte et de contribuer positivement à la société. Les élèves, les enseignants et les parents ont un rôle à jouer dans la création d'un environnement propice à l'apprentissage et à la réussite.

4 juillet 2023

Les océans hostiles : un défi à explorer

La vaste étendue des océans du monde a toujours attiré les explorateurs, les aventuriers et les marins qui ont entrepris des voyages mettant à l'épreuve leur courage sur les mers agitées. Des anciens navigateurs aux marins d'aujourd'hui, l'attrait de la conquête des défis posés par les eaux imprévues et traîtresses est devenu la force motrice de l'exploration. Cet article se penche sur les activités et les innovations remarquables associées à l'exploration des mers agitées à travers l'histoire.

Depuis des temps immémoriaux, l'homme est fasciné par les mers pour se nourrir, commercer et découvrir. Les premiers marins, équipés d'embarcations et d'outils de navigation rudimentaires, se sont aventurés sur les mers agitées, affrontant d'immenses défis. Des Phéniciens aux Polynésiens, ces premiers explorateurs ont jeté les bases d'entreprises maritimes à long terme, ouvrant la voie à des voyages plus engagés.

Les techniques et les outils utilisés pour naviguer sur les mers agitées se sont développés au fur et à mesure de l'évolution de la navigation maritime. Le menu céleste, mis au point par des sociétés anciennes comme les Grecs et les Arabes, repose sur l'observation des étoiles, de la lumière directe du soleil et de la lune pour déterminer la position d'un navire. La mise au point des boussoles au 12e siècle a transformé la navigation, en fournissant aux marins un moyen fiable de déterminer la trajectoire.

Au cours des siècles suivants, des développements tels que l'astrolabe, le quadrant et le chronomètre ont encore amélioré la précision de la navigation, permettant aux marins de naviguer sur les mers les plus agitées avec une plus grande précision.

L'ère des découvertes, qui s'étend du XVe au XVIIIe siècle, a été marquée par une explosion de l'exploration maritime, les puissances occidentales étant à la recherche de nouvelles routes d'achat et de vente et de nouveaux territoires. Des explorateurs comme Christophe Colomb, Vasco de Gama et Ferdinand Magellan ont bravé les mers difficiles, bateau Ibiza repoussant les limites des connaissances humaines et élargissant la planète connue.

Ces intrépides aventuriers ont dû faire face à de formidables défis, notamment de violentes tempêtes, des courants traîtres et le danger toujours présent des naufrages. Leurs voyages ont jeté les bases de l'achat et de la vente à l'échelle mondiale, de la colonisation et de l'échange d'informations et d'idées.

Les progrès de la construction navale ont joué un rôle important dans l'exploration des mers agitées. Les constructeurs navals n'ont cessé d'affiner la conception des navires pour qu'ils résistent aux conditions difficiles rencontrées en mer. Des inventions telles que les navires à coque augmentée, les coques établies et les systèmes de gréement améliorés ont permis d'accroître la stabilité et la navigabilité d'un navire.

La création de navires à vapeur dans les années 1800 a révolutionné les voyages maritimes, en offrant des navires plus rapides et plus maniables. Les navires de guerre à cuirasse de fer, mis au point pendant la guerre de Sécession, ont encore renforcé la durabilité des navires contre les éléments.

À l'époque moderne, les progrès de la navigation et des prévisions météorologiques ont considérablement amélioré la sécurité de base et la productivité sur l'eau. Les systèmes de navigation par satellite, comme le Global Location System (système de positionnement global), fournissent des informations et des données précises sur le positionnement, ce qui permet aux marins de naviguer plus facilement et avec plus de précision dans les mers agitées.

Les prévisions météorologiques, assistées par des images satellites et des conceptions informatiques supérieures, permettent aux marins de prévoir les tempêtes et de planifier leurs itinéraires en conséquence. Ces connaissances permettent aux capitaines et aux équipages de prendre des décisions en connaissance de cause, minimisant ainsi les risques associés à la navigation en mer agitée.

Aujourd'hui, les explorateurs et les experts continuent de repousser les limites de l'exploration maritime, s'aventurant dans certaines des eaux les plus difficiles et les plus reculées de la planète. Des régions polaires aux profondeurs de l'océan, ces personnes courageuses utilisent des technologies modernes de pointe pour percer les mystères cachés dans ces environnements difficiles.

Les submersibles et les véhicules télécommandés (ROV) permettent aux chercheurs de descendre à de grandes profondeurs et de révéler les merveilles des mers profondes. Les brise-glace, navires conçus pour naviguer dans les océans gelés, facilitent l'exploration des régions polaires. Ces progrès technologiques, associés à l'esprit indomptable de l'être humain, nous permettent de continuer à comprendre les océans de la planète.

L'exploration des mers hostiles est une entreprise qui exige du courage, des compétences et de l'innovation. Depuis les premiers marins jusqu'aux explorateurs des temps modernes, l'homme s'est toujours efforcé de relever les défis posés par les environnements les plus hostiles de la nature. Grâce aux progrès de la navigation, à l'amélioration de la construction navale et à l'utilisation de technologies de pointe, les marins sont déjà en mesure de contourner les eaux traîtresses et de percer les secrets des profondeurs.

Alors que nous continuons à découvrir et à comprendre les océans du monde, il est essentiel que nous stabilisions notre recherche de connaissances en accordant une grande importance aux écosystèmes et aux situations fragiles que nous rencontrons. Grâce à une exploration raisonnée, nous pouvons continuer à dévoiler les secrets des mers difficiles tout en préservant ces ressources naturelles inestimables pour les décennies à venir.

bateau (5)

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26 mai 2023

L'évolution de la stratégie pétrolière de la Chine

Au milieu des nombreuses incertitudes qui planent sur la situation politique et économique future de la Chine, une chose est évidente: quel que soit le rythme du développement économique, la Chine doit répondre à sa demande croissante en énergie et en ressources naturelles. Le pétrole sera en tête de cette liste. Bien que le mix énergétique de la Chine continuera à être basé sur le charbon, le pétrole ne représentant que 20 à 25% de sa consommation totale d'énergie primaire, l'approvisionnement de ce carburant stratégique restera d'une importance cruciale pour la sécurité de la Chine.
Au-delà des raisons évidentes de son importance, deux facteurs doivent être mentionnés. Premièrement, le pétrole sera le seul combustible primaire possible pour un certain temps à venir qui sera en mesure de satisfaire la demande croissante des transports et de l'industrie chinoise - le secteur de la demande d'énergie qui croît le plus rapidement pour toutes les économies en développement. Deuxièmement, en raison de limitations financières, écologiques et technologiques, des processus de production d'énergie plus avancés (comme l'hydroélectricité et l'énergie nucléaire) continueront vraisemblablement à jouer un rôle subalterne dans le bouquet énergétique de la Chine.
En 1993, la Chine est devenue un importateur net de pétrole et, selon la plupart des estimations, ses importations continueront de croître dans la décennie à venir. Ces importations, quels que soient les volumes finaux, influeront grandement sur les trajectoires des flux mondiaux d'énergie, de commerce et financiers dans un proche avenir, et auront des implications importantes en matière de sécurité et de politique étrangère.
L'analyse de cet essai se concentrera sur les questions suivantes:
Quelle est la situation actuelle de la demande de pétrole de la Chine par rapport à sa production? Pourrait-il être autosuffisant en ce qui concerne la production de pétrole? Comment cette question est-elle abordée par les décideurs chinois?
Quels seront les principaux défis de l'évolution de la stratégie pétrolière chinoise? À quels obstacles sécuritaires et politiques le gouvernement chinois pourrait-il être confronté? Lequel des autres fournisseurs de pétrole serait-il susceptible de choisir?
Sur la base de ces choix, quelles pourraient être les implications de la politique étrangère pour la Chine et ses principaux voisins régionaux? Quelles nouvelles tendances, liens et contradictions en matière de politique étrangère ces choix pourraient-ils produire?
Les estimations occidentales de l'offre et de la demande futures de pétrole chinois montrent une consonance relative.
Ces estimations sont basées sur un taux de croissance économique moyen de 7% et excluent les scénarios extrêmes de politique économique et de performance. Au cours de la prochaine décennie, le taux de croissance de l'écart entre la demande chinoise et l'offre intérieure continuera d'augmenter. La dépendance de la Chine aux importations de pétrole pourrait atteindre 30 à 35% de sa consommation totale en 2005, atteignant près de 45% en 2010.
Les spécialistes de l'Institut James Baker III pour les politiques publiques ont estimé la future demande de pétrole de la Chine selon trois scénarios possibles de performance économique. Leur conclusion est que même dans le plus conservateur de ces scénarios - où une croissance moyenne du PIB de seulement 2,5% se produirait au cours de la prochaine décennie - la Chine aurait besoin d'importantes importations de pétrole. L'incapacité à répondre à ces exigences interrompra invariablement le processus de développement. »
Il est impossible de considérer la Chine comme un pays pauvre »en termes de réserves de pétrole. C'était un exportateur de pétrole modéré dans les années 80, mais maintenant, ses trois principales zones de production de pétrole - Daqing, Shengli et Liaohe, situées dans les parties nord et nord-est du pays - sont considérées comme en voie d'épuisement et peuvent soutenir leur niveau de production actuel uniquement avec des investissements supplémentaires et solides. La croissance de l'approvisionnement intérieur en pétrole est principalement associée au développement de champs pétroliers dans la province du Xinjiang, dans l'ouest de la Chine, et à l'exploitation de gammes de pétrole offshore dans la mer de Chine orientale. Selon la plupart des estimations, ces deux sources - bien qu'elles augmenteront probablement la production dans les années à venir - ne répondront pas à la demande croissante. Dans les bassins du Xinjiang - Tarim, Jungar et Tu-Ha - le principal problème est considéré comme la structure géologique complexe des champs pétroliers et la nécessité d'une technologie sophistiquée d'extraction du pétrole. Ces facteurs rendent à la fois le risque d'investissement et le coût de production du pétrole très élevés. D'une manière générale, les réserves et capacités potentielles de ces bassins et de tous les gisements pétroliers à terre chinois sont actuellement considérées plus modestement qu'à la fin des années 1970, alors qu'elles étaient parfois comparées aux gisements pétroliers d'Arabie saoudite.
La capacité d'extraction de pétrole offshore dans la mer de Chine orientale, qui est beaucoup plus coûteuse à extraire que tout autre pétrole onshore, est également inférieure aux attentes antérieures. La production pétrolière offshore représente moins de 7% de la production chinoise totale.
Jusqu'à très récemment, le gouvernement chinois avait en fait exclu la possibilité d'une telle dépendance croissante à l'égard de l'énergie importée de ses considérations stratégiques et de sécurité. Cette orientation partait du principe qu'en raison de l'ampleur de ses besoins énergétiques, la Chine pouvait difficilement se permettre de ne pas être autonome. Cependant, en ce qui concerne le pétrole et le gaz, dont les réserves potentielles ne sont pas aussi élevées que le charbon et ne pourront pas répondre à la demande croissante dans un avenir très proche, la situation est évidemment en train de changer. L'évolution du pincement du pétrole "a fait admettre à de nombreux experts chinois qu'une dépendance accrue à l'égard des importations de pétrole devient inévitable." Face à la possibilité réelle d'importer près de la moitié de ses besoins en pétrole - près de 3 millions de barils par jour en 2010 - les experts ont commencé à presser le gouvernement de conceptualiser et de développer une économie pétrolière tournée vers l'extérieur. »
En 1997, quatre ans après que la Chine est devenue un importateur de pétrole, Li Peng, lui-même expert en énergie, a clairement encouragé un changement d'approche du gouvernement. Il a souligné dans son article qu'à mesure que l'économie se développe et que le niveau de vie des gens augmente, la demande de pétrole et de gaz augmentera certainement de manière importante. Tout en s'efforçant de développer nos propres ressources de pétrole brut et de gaz naturel, nous devons utiliser certaines ressources étrangères. »
Au cours des dernières années, plusieurs indicateurs ont commencé à montrer que la stratégie pétrolière de la Chine s'oriente dans cette direction.
Les statistiques d'importation sont le premier signe et le plus convaincant. À partir de 1993, les importations chinoises de pétrole brut ont augmenté à un taux moyen de 9,1% par an. Bien que les importations aient considérablement baissé en 1998, probablement en raison de la crise économique asiatique, le volume total des importations en 1998 était de 27 tonnes (520 kilobarrels par jour).
Cela représentait plus de 15% de la consommation totale de la Chine en 1998. Ces dernières années (1993-1998), les principaux partenaires d'importation de pétrole de la Chine ont été Oman, le Yémen, l'Iran, l'Arabie saoudite, la Russie, l'Indonésie et l'Angola.
Sur la base du raisonnement économique, la dépendance croissante de la Chine sur le marché mondial du pétrole peut être considérée comme le reflet de l'impossibilité actuelle de la production intérieure. Le coût de production moyen du pétrole du Moyen-Orient est toujours inférieur à 2 dollars le baril.
Le coût moyen de production du pétrole chinois à terre se situerait entre 9 $ et 23 $ le baril, selon le champ pétrolier.
Étant donné le prix temporairement bas du pétrole et les prévisions que ces prix n'augmenteront pas de manière drastique au cours des cinq prochaines années, les investissements chinois dans les gisements pétroliers intérieurs difficiles sont économiquement irréalisables.
Les autres indicateurs d'un changement de stratégie pétrolière étaient les réalignements graves de l'industrie pétrolière et la réforme des prix intérieurs du pétrole qui a eu lieu entre 1994 et 1996. L'un des objectifs de ces réalignements était de créer des sociétés pétrolières financièrement solides, solides et flexibles, capables de mener des politiques d'importation agressives et d'investir à l'étranger. À la suite de ces mesures, trois grandes sociétés pétrolières d'État chinoises - la China National Petroleum Corporation (CNPC), la China National Offshore Oil Corporation (CNOOC) et la China National Petrochemical Corporation (Sinopec) ont été promues au niveau ministériel et placées sous la Commission d'État pour l'économie et le commerce. Parallèlement à cette promotion, les sociétés se sont vu déléguer le pouvoir d'acheter des droits d'exploitation et des droits de location à l'étranger et de créer des filiales pour entreprendre l'exploration pétrolière à l'étranger. Le gouvernement a également augmenté progressivement le prix du brut contrôlé par l'État et a ainsi renforcé les sociétés productrices de pétrole avec des ressources financières substantielles pour l'exploration et le développement à l'étranger.
À partir de cette période, l'activité à l'étranger des compagnies pétrolières chinoises est devenue très visible. À un rythme relativement rapide, ils ont acheté des champs pétroliers de petite à moyenne taille au Canada et au Pérou et soumissionné pour des projets en Inde, en Indonésie, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, en Russie et au Venezuela. En 1995, la principale compagnie pétrolière chinoise, la CNPC, a signé un accord avec la société japonaise Marubeni pour la création de coentreprises en aval dans des États tiers.
La même année, CNPC a conclu une coentreprise avec un partenaire américain et a acheté 98 anciens puits de pétrole au Texas. L'année la plus fructueuse pour les achats de pétrole chinois a été 1997. Dans un court laps de temps, la Chine a annoncé qu'elle concluait des accords de développement de champs pétroliers à grande échelle avec le Kazakhstan, le Venezuela et l'Irak pour un montant total de 5,6 milliards de dollars. Bien que les trois gisements de pétrole aient été considérés comme potentiellement très riches et conformes aux graves priorités géographiques de la stratégie pétrolière de la Chine, l'accord avec le Kazakhstan a été considéré comme le plus important et le plus prometteur.
Section 2: Géopolitique de la sécurité pétrolière: défis et choix
Quels défis de sécurité pourraient être imminents pour la Chine une fois qu'elle deviendrait moins autonome en termes d'approvisionnement en pétrole? Peut-être plus important encore, quels choix géopolitiques sont actuellement envisagés pour remédier à ces vulnérabilités?
Il y a deux tendances principales qui sont de première importance. Le premier est l'importance relative visiblement croissante du Moyen-Orient en tant que premier producteur mondial de pétrole. Au cours de la prochaine décennie, il n'y aura pas d'autre entrée substantielle de pétrole sur le marché mondial comparable aux flux en provenance du Moyen-Orient.
Pour le Moyen-Orient (plus le Venezuela), la part totale de la production mondiale de pétrole devrait atteindre 45,4% en 2010.
La deuxième tendance importante est l'augmentation significative du flux de pétrole du Moyen-Orient vers la région Asie-Pacifique, la Chine, le Japon et la Corée étant les principaux consommateurs. Selon le graphique, presque un baril de pétrole brut sur deux produit au Moyen-Orient en 2010 se rendra aux consommateurs de l'autre côté du détroit de Malacca.
Du fait de ces tendances, la part du Moyen-Orient dans les importations de pétrole de la Chine, fluctuant d'environ 50%, pourrait vraisemblablement atteindre 80% ou plus en 2010. Désormais, avec une forte dépendance à l'égard du Moyen-Orient pour le pétrole, les États-Unis. la domination stratégique sur toute la région, y compris toute la voie de communication maritime du détroit d'Ormuz, sera perçue comme la principale vulnérabilité de l'approvisionnement énergétique de la Chine. Il ne serait pas exagéré de dire que l'objectif clé de la stratégie pétrolière de la Chine sera d'éviter cette vulnérabilité stratégique.
Tout en abordant cette notion à multiples facettes de la vulnérabilité », les experts en sécurité énergétique soulignent souvent une de ses dimensions très importantes: la capacité de l'État à accumuler les ressources nécessaires pour payer l'énergie importée.
Dans le cas de l'économie chinoise tournée vers l'exportation, cela signifie que la Chine n'aura confiance en sa sécurité énergétique que si elle a un accès illimité en tant qu'exportateur au marché mondial. Cette interdépendance de la position de la Chine sur les marchés mondiaux de l'énergie et du commerce ne doit pas être sous-estimée. Même avec les bas prix actuels du brut, la facture énergétique de la Chine pourrait s'élever à environ 20 milliards de dollars en 2010.
De ce point de vue, les frictions de la Chine avec l'Occident à propos de son entrée sur le marché mondial et sa non-admission à l'OMC pourraient logiquement être perçues par ses dirigeants comme une atteinte à sa sécurité énergétique.
Un autre défi auquel la Chine est confrontée pour entrer sur le marché mondial du pétrole en tant qu'importateur est la concurrence régionale croissante entre les pays d'Asie de l'Est pour le pétrole brut. La situation sur le marché mondial du pétrole est désormais plutôt avantageuse pour les consommateurs. Ceci est le résultat de prix bas provoqués par une abondance de pétrole en raison d'une surcapacité évidente parmi les producteurs du Moyen-Orient, et d'investissements et de technologies utilisés pour répondre à la demande croissante. Dans le même temps, il existe une possibilité très réelle que la quantité de pétrole entrant sur le marché mondial soit progressivement dépassée par la flambée de la demande, en particulier dans les pays d'Asie de l'Est. Cette tendance continuera de progresser, compte tenu du rythme manifestement lent auquel des pays comme la Chine pourront restructurer leur mix énergétique. Dans la période où l'offre de pétrole diminuera rapidement, il existe une possibilité très réelle et politiquement pertinente que le Japon et la Chine, en tant que plus grands consommateurs de pétrole en Asie de l'Est, deviennent des concurrents.
Cela oblige le Japon à envisager sérieusement l'avenir énergétique de la Chine. Dans une certaine mesure, sa propre sécurité politique et énergétique est étroitement liée à la satisfaction ou à la belligérance de la Chine en matière d'énergie. Par conséquent, la compréhension du Japon jette les bases des intérêts communs des stratégies énergétiques des deux pays.
Un autre facteur pourrait également exacerber la concurrence pétrolière entre la Chine et d'autres États d'Asie de l'Est. Les raffineries de pétrole chinoises sont principalement installées pour traiter du pétrole à faible ou moyenne teneur en soufre. Le volume de ce type de pétrole diminuant progressivement sur le marché mondial, la concurrence de la Chine avec le Japon, l'Indonésie et la Corée du Sud s'intensifie. Face à la nécessité de s'adapter à l'augmentation du volume de pétrole du Moyen-Orient à haute teneur en soufre, la Chine a besoin d'investissements solides dans son secteur des raffineries. Ces deux facteurs exercent une pression supplémentaire sur l'industrie énergétique chinoise.
En analysant la stratégie pétrolière en développement de la Chine - les choix géographiques et de sécurité qui sont faits - il faut considérer que cette stratégie n'est toujours pas développée, mûre ou bien conceptualisée. De nombreuses autres incertitudes économiques et politiques futures obscurcissent les priorités énergétiques de la Chine.
Cependant, certaines priorités sont assez visibles et tout à fait compréhensibles. Ils incluent:
Élargir le réseau mondial de bases de commerce et de développement pétrolier à la fois géographiquement et politiquement, afin d'éviter de mettre tous leurs œufs dans le même panier »;
Augmenter la part des approvisionnements pétroliers provenant de projets de développement et de production pétroliers à l'étranger, au détriment des approvisionnements provenant du marché pétrolier;
Orienter les flux mondiaux de brut afin qu'ils puissent être ajustés à la capacité et à la configuration du réseau de pipelines et des infrastructures de raffinerie de la Chine; et enfin,
Utiliser des relations spéciales »et le commerce des armes comme levier pour obtenir des concessions pétrolières et des prix préférentiellement bas.
La portée géographique des contrats de développement pétrolier chinois s'est considérablement élargie après 1995. Elle s'est élargie pour inclure les champs pétroliers potentiellement riches en Irak et au Venezuela ainsi que des champs de capacité modérée à faible au Pérou, au Canada et aux États-Unis.
Cependant, étant donné l'ampleur de la demande de pétrole de la Chine et les considérations de sécurité, la solution au problème de la dépendance de la Chine au pétrole du Moyen-Orient pourrait être trouvée dans deux endroits possibles: la Russie et l'Asie centrale. Il existe de nombreuses raisons de prévoir que de nombreux développements sérieux dans le domaine de l'énergie en Chine seront orientés dans ces deux directions.
La Russie en tant que fournisseur
La Russie est le troisième producteur mondial de pétrole et possède les plus grandes réserves de gaz naturel. Compte tenu des similitudes que les deux pays partagent dans leurs réformes axées sur le libre marché, et plus encore dans leurs approches respectives des affaires mondiales, il semble très naturel que la Russie devienne le bailleur d'énergie stable, sinon primaire, de la Chine. Bien qu'en termes politiques les pièces du puzzle semblent correspondre, l'aspect économique est beaucoup moins encourageant. L'industrie pétrolière russe connaît actuellement une profonde dépression. Il a connu un effondrement de près de 50% au cours des dix dernières années, ce qui, combiné à la baisse des prix du pétrole, a été l'une des principales raisons du défaut de la Russie en 1997. De plus, la crise de l'industrie pétrolière russe devrait être considérée comme systémique plutôt que simplement comme symptôme des difficultés transitoires actuelles. Cela est principalement dû au fait que la majorité des puits de pétrole dans la partie européenne du pays et dans l'ouest de la Sibérie sont en exploitation depuis le début des années 1970 et sont maintenant considérablement épuisés. Ils nécessitent une rénovation technologique sérieuse et coûteuse afin de reprendre une production égale au niveau précédent. Selon des estimations occidentales, au milieu des années 90, la Russie aurait besoin d'un investissement initial de 25 milliards de dollars et d'injections annuelles de 6 à 7 milliards de dollars si elle veut retrouver ses anciens niveaux de production.
L'autre obstacle sérieux est que l'industrie pétrolière et gazière russe, traditionnellement orientée vers le marché occidental du pays, ne dispose pas des infrastructures de transport et de raffinerie nécessaires en Sibérie orientale et en Extrême-Orient russe. Les goulots d'étranglement que cela provoque entraînent des pénuries d'énergie en Extrême-Orient russe. Pendant ce temps, de nombreux experts considèrent le coût de production des nouveaux gisements de pétrole en Sibérie - à savoir le bassin pétrolier de Sakha Ouest - bien au-dessus de tout niveau raisonnable. Compte tenu de toutes ces considérations, on pourrait supposer que la Russie ne peut pas être une considération sérieuse en termes d'approvisionnement en pétrole de la Chine dans un avenir proche. De plus, l'investissement chinois dans les champs pétrolifères russes est très peu probable.
Cependant, il existe une autre considération tout aussi importante, voire plus importante encore, qui empêche la Chine de s'orienter - à la fois financièrement et stratégiquement - vers la base énergétique russe. C'est le fait que la Chine hésite à ajouter la dépendance énergétique à ses liens politiques et sécuritaires déjà existants avec la Russie.
À l'heure actuelle, la Russie et la Chine envisagent un seul accord énergétique substantiel: l'extraction et le transport du gaz du gisement de gaz Kovytkinskoye dans l'oblast d'Irkoutsk en Sibérie orientale. Le projet prévoit la construction d'un pipeline de 3 000 kilomètres traversant la Mongolie jusqu'à la côte est de la province chinoise du Shandong. Le projet de pipeline était censé inclure des entreprises japonaises et coréennes en tant qu'investisseurs participants, avec le terminus du pipeline au Japon et en Corée. Bien qu'aucun progrès substantiel n'ait été réalisé récemment en matière d'investissement, le projet est censé couvrir près de 40% de la demande totale de gaz naturel en Chine. Nonobstant cette part substantielle, ce plan pourrait être considéré comme stratégiquement sûr, étant donné la proportion relativement faible de gaz naturel dans la consommation totale d'énergie de la Chine.
Fournitures d'Asie centrale
Par rapport à la Russie, les ressources pétrolières d'Asie centrale semblent plus prometteuses pour la Chine. Les réserves de pétrole estimées du bassin de la Caspienne sont assez importantes - peut-être jusqu'à 200 milliards de barils - bien que la plupart des analystes de l'industrie soutiennent une estimation plus prudente de 90 milliards de barils.
L'accord de la Chine avec le Kazakhstan - dans lequel la CNPC surenchère sur ses concurrents russes et américains, y compris Texaco et Amoco - est remarquable à bien des égards. Selon les termes du contrat, la Chine acquerra le droit de développer deux champs pétroliers (Aktuibinsk et Uzen) en échange de son engagement à construire un pipeline de 3 000 kilomètres entre les champs pétroliers et la province chinoise du Xinjiang, et un pipeline de 250 kilomètres vers la frontière de l'Iran (via le Turkménistan).
De nombreux experts spéculent sur les véritables intentions des Chinois de participer à ces projets de pipeline. L'incertitude sur la capacité réelle des gisements pétroliers du Kazakhstan, ainsi que le coût énorme du projet, estimé à 9 milliards de dollars, sont les principales raisons de cette spéculation.
Les informations récentes concernant les plans chinois pour ce projet sont plutôt encourageantes. Selon Wu Yaowen, vice-président de la CNPC, la section intérieure de 482 kilomètres du gazoduc du Kazakhstan - de Korla à Shanshan dans le Xinjiang - est déjà terminée. En outre, la construction du gazoduc de Shanshan à Luoyang dans la province du Henan et à Pengzhou dans la province du Sichuan bat son plein. Le responsable de la CNPC a également déclaré que, une fois achevé dans huit ans, le gazoduc devrait transporter annuellement 25 tm (480 kilobarils / jour) de brut du Kazakhstan vers la Chine. »
Cependant, aucun progrès n'a été signalé dans la construction de ce qui est stratégiquement la partie la plus importante du pipeline - la section s'étendant de Shanshan à la frontière avec le Kazakhstan.
Dans une perspective à long terme, les indications de la priorité que la Chine accorde à la fin de ce projet avec le Kazakhstan sont bien visibles. Premièrement, le pipeline projeté vers le Kazakhstan correspond bien au réseau de pipelines tant attendu qui sera construit en Chine. Nous espérons que ce réseau contribuera à résoudre les goulets d'étranglement chroniques des infrastructures du système énergétique chinois, principalement l'écart entre les bases pétrolières et gazières du Xinjiang en Chine occidentale et les principaux consommateurs des provinces orientales et maritimes du pays.
Les experts en énergie soulignent également une autre considération, encore plus farfelue, concernant la participation de la Chine au projet du Kazakhstan. La principale difficulté géopolitique avec les fournisseurs d'Asie centrale est la mise en place d'un système de transport stable permettant de fournir de l'énergie aux destinations finales au Moyen-Orient et en Europe. Bien qu'elle poursuive actuellement différentes approches, tôt ou tard la Russie, la Turquie, l'Iran et d'autres parties concernées résoudront le problème des transports. En se connectant au système de transport d'Asie centrale dans un avenir proche, la Chine obtiendra à terme un accès continental stratégique au Moyen-Orient via les futurs réseaux d'Asie centrale.
Avec ces deux liens pivots du Moyen-Orient à l'Asie centrale et de l'Asie centrale à la Chine, la Chine pourrait se positionner au centre d'un pont énergétique mondial panasiatique »qui reliera les fournisseurs existants et potentiels à l'Asie (c.-à-d. Le Moyen-Orient). Est, Asie centrale et Russie) avec les principaux consommateurs asiatiques (Chine, Japon et Corée).
La Chine pourrait certainement bénéficier d'une position géostratégique aussi centrale. Tout d'abord, avec tous les fournisseurs possibles liés entre eux sur une base continentale, la stabilité et la diversité des approvisionnements pétroliers de la Chine seront renforcées. Deuxièmement, la Chine est raisonnablement convaincue que sa participation à un réseau de pipelines international faciliterait les investissements japonais et coréens dans les pipelines internes de la Chine. Ces pipelines, tout en reliant le Xinjiang aux provinces de l'Est, deviendraient finalement un maillon important de la chaîne globale. Troisièmement, la position de la Chine au centre du pont énergétique panasiatique mondial "fournirait un avantage très important dans le processus de raffinage, les régions côtières de la Chine servant de lien de raffinage entre le pétrole brut du Moyen-Orient et d'Asie centrale et l'Asie-Pacifique. marchés.
Il va sans dire que la construction d'une telle interdépendance au sein de la structure des flux énergétiques internationaux semble être la solution idéale aux vulnérabilités énergétiques de la Chine. Bien sûr, l'idée d'un pont énergétique «ne peut être considérée que comme un scénario futur à long terme avec de nombreux ifs économiques et politiques» en cours de route. Du point de vue étroit et axé sur l'énergie, ce type de réseau panasiatique nécessitera d'énormes investissements dans les infrastructures pipelinières et dans les raffineries côtières chinoises.

28 février 2023

Programmes de bien-être dans les hôtels

L'innovation est essentielle pour que les complexes hôteliers de luxe restent dynamiques sur un marché en constante évolution. Dans le monde d'aujourd'hui, meilleur hôtel les clients ont des attentes élevées et exigent le meilleur de chaque chose. Les complexes hôteliers de luxe doivent offrir des rencontres uniques et personnalisées qui dépassent les attentes de leurs clients pour les fidéliser. Voici quelques idées innovantes que les hôtels de luxe peuvent mettre en œuvre pour améliorer l'expérience de leurs clients et se démarquer sur un marché encombré.

Services personnalisés

La personnalisation est la clé pour que les clients se sentent appréciés et spéciaux. Les hôtels de luxe peuvent utiliser la technologie pour proposer des services personnalisés. Par exemple, les centres de villégiature peuvent utiliser des données pour comprendre les préférences des clients et adapter leurs expériences en conséquence. Les employés de l'hôtel peuvent utiliser ces informations pour proposer des services personnalisés tels que des produits d'accueil personnalisés, un service d'étage personnalisé et même un plaisir personnalisé dans la chambre.

En outre, les hôtels de luxe peuvent proposer des expériences uniques et sur mesure qui répondent aux intérêts de leurs clients. Par exemple, si un client s'intéresse à un type de cuisine particulier, votre établissement peut lui proposer un cours de cuisine privé avec un chef renommé. Cette approche permet non seulement d'offrir aux visiteurs une expérience personnalisée, mais aussi de les faire se sentir valorisés et spéciaux.

Utilisation de la technologie

La technologie joue un rôle essentiel dans l'amélioration de l'expérience des visiteurs. Les hôtels de luxe peuvent utiliser la technologie pour améliorer les processus d'enregistrement des clients à l'arrivée et au départ. Au lieu d'attendre dans de longues files d'attente, les visiteurs peuvent s'enregistrer en utilisant des bornes d'enregistrement automatique ou des applications mobiles. Les hôtels peuvent également utiliser la technologie pour proposer aux clients des visites numériques de l'hôtel avant leur arrivée, afin de les aider à choisir leur chambre et leurs équipements préférés.

En outre, les hôtels peuvent utiliser la technologie pour proposer des services de divertissement en chambre et d'autres services. Les clients peuvent accéder à des services de conciergerie électronique, commander un service d'espace, et contrôler l'éclairage et la température de leur chambre à l'aide de leur smartphone ou de pilules dans la chambre. La technologie peut également être utilisée pour offrir aux clients des solutions sans contact, comme les paiements sans contact, l'entrée sans clé et l'automatisation des chambres.

Durabilité

La durabilité devient de plus en plus essentielle pour les clients des hôtels de luxe. Les hôtels peuvent mettre en œuvre des méthodes durables telles que la réduction de leur consommation d'énergie, la diminution des déchets et l'utilisation de produits écologiques. Les centres de villégiature de luxe peuvent également intégrer des méthodes durables dans l'expérience de leurs visiteurs, par exemple en proposant des repas et des boissons d'origine locale, en offrant des soins de spa biologiques et en utilisant des matériaux écologiques dans les espaces réservés aux clients.

En outre, les hôtels de luxe peuvent s'associer à des organisations locales pour soutenir des initiatives durables au sein de la communauté locale. Par exemple, les hôtels soutiennent des programmes écologiques locaux ou s'associent à des propriétaires de fermes locales pour promouvoir l'agriculture durable.

Programmes de bien-être

Le bien-être est une tendance croissante parmi les clients des hôtels de luxe. Les hôtels peuvent proposer des programmes de bien-être qui favorisent le bien-être physique et mental. Par exemple, les hôtels peuvent proposer des cours de yoga, des périodes de méditation et des centres de remise en forme dotés d'équipements ultramodernes.

Les hôtels peuvent également proposer des services de spa de santé qui utilisent des produits biologiques et naturels. Les hôtels de luxe peuvent proposer des programmes de bien-être personnalisés qui répondent aux besoins particuliers des clients. Par exemple, un client qui souhaite se déstresser peut bénéficier d'un programme de bien-être personnalisé comprenant du yoga, de la méditation et des soins de spa.

Expériences immersives

Les hôtels de luxe peuvent proposer des expériences immersives qui permettent aux clients de dépasser le cadre habituel de l'hôtel. Les hôtels peuvent proposer des expériences culturelles et culinaires qui permettent aux visiteurs de mieux comprendre la culture régionale. Par exemple, les hôtels peuvent proposer des cours de cuisine qui mettent en valeur la gastronomie locale ou offrir des visites soigneusement guidées des marchés locaux.

En outre, les hôtels de luxe peuvent proposer des expériences de plein air qui permettent aux clients d'explorer le paysage local. Les hôtels peuvent proposer des activités telles que la randonnée, le cyclisme et les safaris dans la nature. Ces rencontres offrent non seulement aux clients une expérience unique, mais leur permettent également de se connecter avec la communauté et l'environnement régionaux.

En conclusion, l'innovation est essentielle pour que les hôtels de luxe restent pertinents et offrent à leurs clients une expérience unique et mémorable. Les services personnalisés, l'utilisation de la technologie, la durabilité, les applications de bien-être et les expériences immersives ne sont que quelques exemples des approches innovantes que les hôtels de luxe peuvent adopter. En adoptant l'innovation et en restant à la pointe du progrès, les hôtels de luxe

13 octobre 2022

Pour un tourisme écologique

La croissance stupéfiante du tourisme au cours des 50 dernières années a contribué de manière substantielle à la création de tâches et au progrès économique à l'échelle mondiale ; mais, comme c'est le cas pour de nombreux secteurs, elle n'est pas restée sans influence sur la crise climatique mondiale, 100% voyage la biodiversité et les méthodes standard de préservation des environnements conservés par les quartiers du monde entier. Aujourd'hui, alors que le secteur se remet de l'influence désastreuse de la pandémie de COVID19, le tourisme peut, avec une gouvernance adéquate et une refonte réfléchie, devenir un véhicule très efficace pour la préservation de la biodiversité et l'action climatique et contribuer à la réalisation des objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies.

Le Global Future Council on Sustainable Tourism du Forum économique mondial a élaboré collectivement ces dix concepts pour des destinations respectueuses de l'environnement afin de guider les décideurs politiques, les entreprises et les organisations de gestion des lieux de vacances pour permettre une bonne planification et un changement de comportement afin de restaurer les destinations et d'optimiser leurs offres pour un avenir durable. Les principes sont utilement alignés sur les ODD afin qu'ils puissent être intégrés de manière significative dans les initiatives ou procédures de planification actuelles ou contrastées qui cherchent à atteindre les objectifs mondiaux.

Présentés à l'occasion de la Journée mondiale du tourisme 2022, sous le thème mondial "Repenser le tourisme", les dix principes énoncés dans le présent document fournissent des conseils, des bonnes pratiques et des outils réalisables aux parties prenantes pour qu'elles reconsidèrent de manière collaborative et efficace la façon dont elles gèrent les destinations et les procédures touristiques, en créant délibérément et de manière proactive la résilience et la durabilité du lieu, des personnes et des produits qu'il comprend.

L'étonnante croissance du tourisme au cours des 50 dernières années a contribué de manière significative au développement de l'emploi et de l'économie au niveau international ; mais, comme pour de nombreux secteurs, elle n'a pas été sans avoir d'impact sur la situation climatique mondiale, la biodiversité et les méthodes traditionnelles de préservation des conditions détenues par les communautés du monde entier. Aujourd'hui, alors que le secteur se remet de l'impact dévastateur de la pandémie de COVID19, le tourisme peut, moyennant une gouvernance suffisante et une réorganisation réfléchie, devenir un vecteur efficace de conservation de la biodiversité et de lutte contre le changement climatique, et contribuer à la réalisation des objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies.

Le Worldwide Future Local authority or council on Environmentally friendly Tourism du Forum financier mondial a élaboré collectivement ces 10 principes pour les lieux durables afin de guider les fabricants de produits touristiques, les entreprises et les sociétés de gestion des destinations pour permettre une préparation et un changement de conduite positifs afin de réparer les destinations et d'optimiser leurs offres en vue d'un avenir durable. Les concepts sont utilement alignés sur les ODD afin qu'ils puissent être intégrés de manière significative dans les efforts ou les processus de planification existants ou complémentaires qui visent à atteindre les objectifs mondiaux.

Lancés à l'occasion de la Journée mondiale du tourisme 2022, sous le thème mondial "Repenser le tourisme", les 10 concepts présentés dans ce document offrent des conseils, des pratiques exemplaires et des équipements possibles aux parties prenantes pour qu'elles reconsidèrent de manière collaborative et efficace la façon dont elles gèrent les destinations et les pratiques de vacances ; en concevant de manière délibérée et proactive la résilience et la durabilité du lieu, des individus et des biens qu'il comprend.

Mme Hagedoorn était l'oratrice invitée lors de la table ronde de la Journée mondiale du tourisme 2022 organisée par le Joji Ilagan College of Business and Tourism et la Worldwide Management University.

Elle a déclaré que le gouvernement devait redéfinir sa campagne de marketing touristique, maintenant que les limitations de la pandémie de Covid-19 ont été levées.

Selon Mme Hagedoorn, le tourisme écologique a fait son apparition pendant l'attaque de la pandémie, car les gens ont compris l'importance d'un "mode de vie et d'un environnement sains".

"Les gens ont commencé à prendre contact avec la façon dont nous vivons et voyageons sur la planète. Je pense que beaucoup de gens ont appris leur leçon à la suite de la pandémie", a-t-elle déclaré.

"La pandémie a été comme une sorte de frein à main sur notre mode de vie, et je pense que beaucoup de pays en ont eu besoin simplement parce que nous avions tendance à nous concentrer de manière obsessionnelle sur la croissance, beaucoup plus grand, beaucoup mieux, très axé sur les revenus, mais quand vous commencez à perdre vos proches et que vous êtes confiné à atteindre les personnes que vous aimez, vous réévaluez ce sur quoi la vie est centrée", a-t-elle ajouté.

Elle a également indiqué que l'ensemble de la communauté devrait repenser sa dépendance à l'égard des arrivées internationales et qu'"elle doit valoriser et encourager son marché domestique".

Les voyages et les loisirs nationaux et régionaux peuvent encourager les personnes résidant en milieu urbain à sortir dans la nature et à découvrir l'atmosphère des zones rurales.

Elle a également remarqué un engouement dans le paysage métropolitain, certaines villes ayant fait pression pour obtenir davantage de pistes cyclables, tandis qu'émergent des sites de glamping et des fermes écologiques, qui créent de nouvelles entreprises dans la partie montagneuse des différentes îles qu'elle a visitées dans le pays.

7 septembre 2022

DEs prévisions significatives

Le choc de la pandémie de Covid-19, les nouvelles tendances économiques changeantes et les révisions de la politique monétaire par les principales banques centrales font des prévisions macroéconomiques une tâche difficile. Cet article passe en revue les progrès des techniques de prévision qui ont été discutés lors de la 11e conférence de la BCE sur les techniques de prévision, consacrée à la prévision en temps anormal ». Les chercheurs avancent actuellement principalement sur deux fronts - soit en protégeant les modèles linéaires contre les événements extrêmes, soit en modélisant explicitement la dynamique de ces derniers. De nouvelles approches et méthodes se développent rapidement, en partie inspirées des techniques de big data et d'apprentissage automatique.
La dernière décennie a montré que les prévisionnistes doivent continuellement adapter leurs outils pour faire face à une complexité macroéconomique croissante. Tout comme la crise mondiale, la pandémie actuelle de Covid-19 souligne une fois de plus que les prévisionnistes ne peuvent pas se contenter d'évaluer le résultat futur le plus probable - comme un chiffre unique pour la croissance future du PIB au cours d'une certaine année. Au lieu de cela, une caractérisation de tous les résultats possibles (c'est-à-dire l'ensemble de la distribution) est nécessaire pour comprendre la probabilité et la nature des événements extrêmes.
C'est également essentiel pour les prévisionnistes des banques centrales, comme l'a souligné Philip Lane, membre du directoire de la BCE, dans son discours d'ouverture de la 11e conférence sur les techniques de prévision. Les banques centrales s'appuient fortement sur les prévisions pour concevoir leur politique et ont besoin de techniques robustes pour traverser les périodes de turbulences . Ils assurent non seulement la stabilité des prix et sont donc directement intéressés par la trajectoire d'inflation future la plus probable, mais contribuent également à la compréhension, à la gestion et au traitement des risques macroéconomiques et doivent donc appréhender la probabilité d'événements extrêmes (voir aussi la discussion dans Greenspan 2004). Afin d'améliorer la compréhension collective des nouvelles techniques qui pourraient potentiellement faire face aux défis posés par les événements extrêmes (par exemple, les pandémies, les catastrophes naturelles telles que les inondations ou les incendies de forêt) et les tendances changeantes (par exemple, le changement climatique, la démographie), la BCE a consacré la conférence à la prévision dans temps anormaux ». Les participants à la conférence - d'éminents experts dans le domaine - ont considéré les changements de régime et les grandes valeurs aberrantes comme des défis particulièrement importants pour les prévisionnistes des banques centrales à l'heure actuelle (graphique 1) et c'est ce que de nombreuses présentations ont abordé.
De nombreuses contributions couvraient l'une ou l'autre des deux stratégies d'amélioration des modèles de prévision dans un paysage de prévision dominé par la pandémie de Covid-19. La première stratégie revient à mettre à l'abri des modèles de prévision standards (tels que les VAR et les modèles à facteurs) contre les événements extrêmes. La deuxième stratégie vise à modéliser explicitement la dynamique économique dans des états extrêmes de l'économie, en reconnaissant que les variables économiques interagissent différemment dans de tels cas. Alors que ces deux stratégies évoluent actuellement assez indépendamment, elles pourraient se compléter à l'avenir.
Modernisation de l'approche classique
Plusieurs études récentes proposent des moyens de faire fonctionner le modèle classique d'autorégression vectorielle (VAR) en période de turbulence. Les chocs importants de la pandémie de Covid-19 ont des effets si forts sur les estimations des paramètres qu'ils peuvent conduire à des prévisions invraisemblables. S'il est simple de faire face à une seule observation extrême en corrigeant les valeurs aberrantes, cette approche atteint ses limites en cas d'enchaînement de chocs importants. Des études récentes proposent de donner moins de poids aux observations de Covid-19 en permettant une volatilité plus élevée des résidus associés (Lenza et Primiceri 2020). Carriero et al. (2021) proposent une approche alternative qui combine une variation temporelle stochastique de la volatilité avec un mécanisme de correction des valeurs aberrantes. Dans son discours d'ouverture, Joshua Chan a souligné que la volatilité stochastique est une caractéristique de longue date des données macroéconomiques et que sa prise en compte améliorait les propriétés de prévision des VAR à grande échelle déjà avant Covid-19. Dans son discours d'ouverture, Chris Sims a fait valoir que les chocs structurels frappant l'économie sont mieux compris (et identifiés) en examinant les changements dans la cooccurrence de fortes fluctuations de plusieurs quantités macroéconomiques clés. Les VAR sont un modèle de bourreau de travail, d'où l'accent mis sur eux. Mais en réalité, ce ne sont pas seulement les VAR qui sont affectés par les observations anormales. C'est également le cas pour la plupart des autres modèles de séries chronologiques standard et, en fait, également pour les modèles structurels à part entière, c'est-à-dire les modèles dynamiques d'équilibre général stochastique (DSGE), qui sont également adaptés pour tenir compte de la nature sans précédent du choc pandémique (Cardani et al. 2020).
La prévision bénéficie de l'apport d'informations pertinentes hors modèle, telles que le jugement d'experts. Cela est encore plus vrai lors d'événements extrêmes. Banbura et al. (2021) montrent que l'enrichissement des prévisions basées sur des modèles purs avec des informations fournies par l'enquête auprès des prévisionnistes professionnels peut être un moyen valable d'améliorer les performances de prévision.
La nouvelle ambition : Modéliser l'ensemble de la distribution et les non-linéarités
Si les événements extrêmes deviennent plus fréquents, la politique doit accorder encore plus d'attention aux résultats extrêmes possibles. Contrairement à la stratégie décrite dans la section précédente, qui neutralise largement les événements extrêmes, la deuxième stratégie tente de s'attaquer de front aux événements extrêmes en modélisant explicitement leur dynamique.
Un axe de travail part du constat que la dynamique économique dépend en partie de l'état de l'économie. Par exemple, la dynamique peut différer entre une profonde récession et une expansion. L'approche de plus en plus populaire de la « croissance à risque » (GaR) explore cette possibilité en modélisant la dépendance de la dynamique économique à la direction et à l'ampleur des chocs les plus récents. De cette manière, il permet différentes dynamiques pendant une crise (voir Korobilis et al. 2021 pour une application à l'inflation). Gonzalez-Rivera et al. (2021) s'appuient sur l'approche de la croissance à risque, affirmant que pour mesurer les vulnérabilités lors d'événements extrêmes tels qu'une pandémie, il faut penser en termes de scénarios. Leur approche s'inspire de la littérature sur les tests de résistance, qui avait été développée pour appréhender le risque extrême sur les marchés financiers. La combinaison de l'approche de la croissance à risque avec des scénarios d'évolutions économiques extrêmes sélectionnées permet de comprendre comment l'économie est affectée par des chocs importants. Caldar et al. (2021) montrent que les modèles de changement de régime offrent une alternative prometteuse à l'approche de croissance à risque.
Une approche plus récente et plus radicale pour gérer de manière flexible les dynamiques économiques non linéaires s'inspire des techniques d'apprentissage automatique. Plusieurs approches combinent des techniques de séries chronologiques avec des arbres de régression. Ces techniques modélisent la dépendance des états par des modèles linéaires par morceaux définissant les états par des méthodes purement pilotées par les données. Pour éviter le surajustement, les techniques de rétrécissement et de calcul de la moyenne des modèles ont longtemps été utilisées pour se concentrer sur les prédicteurs les plus pertinents. Dans le contexte de l'apprentissage automatique, le rétrécissement permet d'obtenir des résultats robustes en faisant la moyenne sur de nombreux arbres, tels que les « forêts aléatoires » (Coulombe, 2021) ou en combinaison avec des techniques bayésiennes (Clark et al. 2021). Ces derniers montrent que cette modélisation flexible des non-linéarités peut aider à prévoir non seulement la moyenne conditionnelle mais aussi le risque extrême. L'article gagnant du concours pour doctorants (Kutateladze 2021) applique une "astuce du noyau" pour estimer des modèles de facteurs dynamiques non linéaires avec des modèles hautement non linéaires.
Les nouveaux développements sont gourmands en données, et leur popularité croissante est donc étroitement liée à l'émergence du big data. Même avec les mégadonnées, cependant, la modélisation des non-linéarités peut rester fragile. Une complexité de modèle plus élevée s'accompagne d'un manque de robustesse et de la critique de la « boîte noire ». Il est possible d'améliorer l'interprétabilité des techniques d'apprentissage automatique via une analyse post-estimation (Buckmann et al. 2021). À ce stade, le succès durable de ces modèles reste à voir.
Des compléments, pas des substituts
Les deux stratégies présentées dans cette chronique évoluent assez indépendamment dans la littérature actuelle, mais elles pourraient se compléter et s'enrichir à l'avenir. Notre enquête sur la conférence montre que l'approche classique n'est en aucun cas devenue obsolète : plus de la moitié des participants ont indiqué qu'ils utilisent des VAR dans leur travail. Dans le même temps, il existe un large consensus sur la nécessité de poursuivre les recherches sur de nouveaux indicateurs et sur la modélisation de la dynamique non linéaire (figure 2). Pour cela, l'approche classique et la nouvelle approche peuvent apprendre l'une de l'autre. La conférence a révélé quelques lacunes, qui peuvent être comblées via les complémentarités entre les deux approches.
Connaître la nature des non-linéarités contribue à rendre les modèles linéaires plus robustes. Le large éventail de grands ensembles de données disponibles permet de construire des statistiques qui capturent la non-linéarité ou le risque à une fréquence plus élevée que jamais. Ainsi, certains types de non-linéarités peuvent être introduites dans des modèles linéaires à partir d'indicateurs microéconomiques. À l'inverse, le succès de nouveaux indicateurs dans les modèles linéaires pour capturer les non-linéarités dans l'économie pourrait inspirer le développement de modèles non linéaires ciblés. Cette coïncidence des besoins pourrait se refléter dans le fait que les « mégadonnées » sont classées comme la voie de recherche la plus importante par les participants à la conférence (figure 2).
La haute fréquence et les mégadonnées ont déjà apporté des gains substantiels dans la projection actuelle de l'économie. Au début de la crise de Covid-19, en raison de la rapidité sans précédent avec laquelle les événements économiques se déroulaient, de nouvelles variables à haute fréquence telles que les données de carte de crédit, les données de mobilité, Google Trends ou les informations de réservation se sont avérées extrêmement utiles en temps réel. suivi des évolutions économiques (voir Antolin-Diaz et al. 2021 ou Woloszko 2020 détaillant le OECD Weekly Tracker). Cela s'est également accompagné d'innovations techniques sur le traitement de la courte histoire de ces données, les implications de l'incertitude variable dans le temps pour la mise à jour des prévisions avec les nouvelles entrantes (Labonne, 2020) et sur la prévision robuste de séries hautement non stationnaires (Castle et al. 2020, 2021).
Apprécier les (prévisions de) l'incertitude
Les incertitudes se sont accrues au cours des dernières années, et il est devenu encore plus urgent de les aborder correctement. Les modèles statistiques aident à traduire les modèles historiques dans la situation actuelle. Inévitablement, cela n'a pas trop bien fonctionné pendant la pandémie, qui peut être considérée comme historiquement unique. Le choc Covid-19 n'est pas le choc macroéconomique habituel, comme l'ont évoqué au début de la pandémie Baldwin et di Mauro (2020). Dans de telles situations, il convient de trouver un équilibre entre les prédictions basées sur des modèles statistiques et celles basées sur un raisonnement économique, par exemple via des modèles théoriques.
La mesure appropriée de l'incertitude est importante en soi. Après tout, l'incertitude n'est pas un manque de précision. Chris Sims a vivement souligné que les développeurs et les utilisateurs de modèles ont tendance à dire qu'un modèle produisant des bandes d'incertitude très élevées n'est «pas précis». Mais cette forte incertitude pourrait en fait être une description appropriée de l'état de l'économie. Par conséquent, les décideurs politiques devraient encourager les modèles qui indiquent exactement l'ampleur de l'incertitude, même lorsqu'il s'agit de mauvaises nouvelles.

16 juin 2022

Découvrir Alexandrie

Zone mince et en forme de ruban, Alexandrie traverse le littoral méditerranéen sur 20 km sans réellement explorer plus de 5 km à l'intérieur des terres - c'est une véritable zone de front de mer. La fantastique Corniche longe le port est d'Alexandrie, en empruntant une série de plages de la ville. Les tramways circulent à un rythme d'escargot dans toute la ville, complétés par des bus et des minibus. L'emplacement clé dynamique est suffisamment portable pour se promener tout autour. Les habitants d'Alexandrie ne sont pas vraiment l'étonnante combinaison pré-innovante d'Égyptiens, de Grecs, de Britanniques, de Français et d'Italiens qui a donné à la ville son endurance des XIXe et XXe siècles. Il y a 300 000 hommes et femmes dans les années 40, dont environ 40% sont des étrangers; les milliers d'aujourd'hui sont presque exclusivement égyptiens. Ce qui a modifié la façon dont Alexandrie se remarque - les foyers égyptiens ouvriers dans l'étalement croissant du centre-ville ont, selon certains, reconquis la région pour le faire du centre conservateur du pays. Même ainsi, Alexandrie a toujours été une zone éloignée les unes des autres et toujours, en attendant au moins, des vues par elle-même, ce qui signifie que l'atmosphère reste beaucoup plus cosmopolite que n'importe quel autre endroit en Égypte, pas moins que de la ville. centre-ville. Alexandrie était le capital d'investissement de l'Égypte regardant la fondation par Alexandre l'excellent en 332 avant notre ère jusqu'à sa capitulation sur les facteurs arabes dirigés par? Amr ibn al-? A? en 642 CE. Certainement l'un des plus beaux endroits d'Égypte, Alexandrie peut aussi être son principal port maritime et un centre industriel majeur. La zone est située dans la mer Méditerranée au bord européen du delta du Nil, à environ 114 ml (183 km) au nord-ouest du Caire en Basse-Égypte. Alexandrie a longtemps occupé une place spéciale dans la créativité préférée en vertu de la connexion avec Alexandre et Cléopâtre. Alexandrie a joué un rôle énorme dans la protection et la transmission de la tradition hellénique vers le monde entier méditerranéen et avait été un creuset d'érudition, de piété et de politique ecclésiastique dans le passé historique chrétien. Bien qu'il ait vraiment été affirmé qu'Alexandrie a décliné à la suite de sa conquête par les Arabes musulmans au 7ème siècle de notre ère, ce genre de document est trompeur. La primauté politique de la ville ayant été abandonnée dès le transfert du capital d'investissement à l'intérieur, Alexandrie est restée un centre essentiel des opérations navales, des affaires maritimes et de la production artisanale. Dès le XVe siècle, villes les plus peuplées du monde la région prospéra comme un point de transit dans les achats et ventes effectués entre l'Eau Rouge et aussi le bassin méditerranéen.

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